Bas les masques?
Karl de La Grange nous livre une réflexion sur les carnetiers (doux nom associé aux bloggeurs chez nos cousins d'amérique du nord) ou plutôt sur le masque ou le miroir que compose un blog et dans lequel son auteur se regarde, se découvre (lui même et aux yeux des autres), se projette, se ramifie, se rêve. Je préfère le citer directement.
D'autres personnes ont réagit en prolongeant leurs réflexions(faut descendre sur la page [mais peut-être qu'au moment de lire, la news sera déjà dans les archives]).
J'aime voir le web comme cela avec des prolongations imprévues nous offrant des éclats de lumière et clins d'yeux parfois discret. Merci :o)
Les carnets Web sont la possibilité d'un voyage étranger. Ils offrent l'exploration de nouveaux territoires, de nouveaux paysages, d'étranges définitions du lieu sans être vraiment un lieu. L'auteur en est sa divinité topique, le capitaine d'un navire flottant sur un océan sans géographie. Les vagues, collines aquatiques, n'y ont pas de noms. Et pourtant que l'aventure est belle, qu'elle se révèle chargée du parfums des embruns, des sels cristallisés, des couleurs d'algues marines, aventurières de courants profonds.
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On se déshabillait derrière un paravent en évoquant les mots doux d'un futur possible à l'autre, on se donne l'impression de voir sans être vu, alors qu'on se donne à voir aux autres restés cachés
D'autres personnes ont réagit en prolongeant leurs réflexions(faut descendre sur la page [mais peut-être qu'au moment de lire, la news sera déjà dans les archives]).
J'aime voir le web comme cela avec des prolongations imprévues nous offrant des éclats de lumière et clins d'yeux parfois discret. Merci :o)
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