MA LIBERTE COMMENCE LA OU S'ARRÊTE CELLE DES AUTRES
Ma connerie du jour : On ne peut pas toujours dire tout haut ce qu'on pense tout bas des autres. Les gens font ce qu'ils peuvent croyant souvent que c'est ce qu'ils veulent. Je veux parler des gens proches avec qui on tente souvent en vain de partager quelques moments de temps en temps. Pas les inconnus dont on a rien à foutre. Ceux qui vont au théâtre pour se faire pendre en otage et finissent gazés comme des lapins avec les preneurs de perpette. Quand les intérêts du jeu dépassent la souffrance de quelques petites gens, rien n'est trop jouissif pour écraser l'ennemi. Le jeu dépasse la chandelle et les bouts de ficelles. Pourquoi faire dents la dentelle?
Les common people dont je parle sont ceux qu'on apprécie, je veux dire peut-être toi en particulier qui lit ces lignes. On se connait c'est presque sûr. Parfois je ne peux même pas te dire combien tu es vain, enfermé sur ton petit ego, préoccupé par une question existentielle qui m'exaspère. Oui, tu m'horripiles électrique. Je suis le premier à qui retourner ces propos. Mais là n'est pas ma question. Comme je l'ai dit, tu hais qui tu peux pas qui tu veux. Un peu d'empathie mais enfin j'essaie parfois de te le dire, mais cela n'est pas toujours entendu. Alors pourquoi répèter 3 ou 4 fois de suite quelque chose, si le sens est déformé ou mon propos est réformé. Je n'ai pas forcément envie de te vexer ou pire de t'aggresser. Mais j'ai l'impression de me vider pour rien.
Tourner en rond, fatigues. Je me tais. Cela ne s'arrête pas à un problème de communication, emmetteur-emmerdeur-recepteur, fluide techno-cérébral, les doigts en prise de terre directe à la masse. fffffffffffrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrt , je vois déjà tes cheveux hérissés, s'il t'en reste sur le crâne et l'odeur du cochon crâmé. On s'emmerde, tu m'emmerdes. Il ne se passera rien mais par respect on s'abstiendra. Je fais passer mon temps. Je m'abstrais dans le silence. Je te soustrais. Une bonne diarrée verbale, un vomis logorhé, une chiasse volubile soulagerait cette crampe tenaillante jusqu'à l'insomnie. A quoi bon les dépenses si tu n'entends rien. Restons en las!
Patience au nom de l'amitié. Politesse et relations humaines. Bullshit enragée. Tu me prends la tête. Cela me renvoie à ma petitesse d'esprit, à mon intolérance, à ma rigidité légendaire. Je m'en fou ou presque. J'ai envie de tout envoyer péter. Mais ... il reste un mais car tout est question de réciproque. La belle au bond me renverra toujours son uppercut du gauche. Ouuuch je mordrai des doigts. J'en aurai pour ma monnaie. Pourtant j'aimerai être un éléphant. Juste pour me ballader dans vos magasins de porcelaine. Même pas peur des souris. Même mignonnes à croquer. Que je dis! Faut voir. J'aurai une mémoire terriblement rancunière. Je monterai sur des ballons pour faire le pitre. Vendre mes défenses d'y voir. Provoquer quelques rires bons enfants. Puis je te flanquerai la trouille. Le regretter, en me prenant pour un gros con, et présentant des excuses. C'est comme ca. Je ne suis pas très sympa dans mon ciboulot à temps partiel.
Pourquoi rester ami? Allez de l'air frais, du vent ! Qu'est-ce qui nous relie? Qui fait qu'on ne peut pas tourner la page? Qu'on ne peut plus retourner la plage? Ou mieux l'arracher et changer de bouquin. Passer à autre chose, un roman collection rose, un manga à avaler en 5 à 7. Déménager et changer d'identité. Larguer toutes ces casseroles. Re-7. CTRL+ALT+DEL. Effacer les données. Oublier tout même les bons moments. La grenade a explosé. Commando-suicide je fais rompre mon pain de plastique et partage ma haine avec ces disciples inconnus. Reste à ramasser les morceaux. Leste à ressasser les morsures. Du balai, ouste !
OK je change de disque, je chantonne un autre air, j'abandonne ma demande abusive. Je prendrai ce qui me reviendra. J'oublie une bouteille par la mer. J'efface une tuile. Une tâche d'huile. Un retour de manivelle. Merci pour le geste. De rien pour l'attention. Par où soufflera le vent? Y aura-t'il seulement du vent?
Ma connerie du jour : On ne peut pas toujours dire tout haut ce qu'on pense tout bas des autres. Les gens font ce qu'ils peuvent croyant souvent que c'est ce qu'ils veulent. Je veux parler des gens proches avec qui on tente souvent en vain de partager quelques moments de temps en temps. Pas les inconnus dont on a rien à foutre. Ceux qui vont au théâtre pour se faire pendre en otage et finissent gazés comme des lapins avec les preneurs de perpette. Quand les intérêts du jeu dépassent la souffrance de quelques petites gens, rien n'est trop jouissif pour écraser l'ennemi. Le jeu dépasse la chandelle et les bouts de ficelles. Pourquoi faire dents la dentelle?
Les common people dont je parle sont ceux qu'on apprécie, je veux dire peut-être toi en particulier qui lit ces lignes. On se connait c'est presque sûr. Parfois je ne peux même pas te dire combien tu es vain, enfermé sur ton petit ego, préoccupé par une question existentielle qui m'exaspère. Oui, tu m'horripiles électrique. Je suis le premier à qui retourner ces propos. Mais là n'est pas ma question. Comme je l'ai dit, tu hais qui tu peux pas qui tu veux. Un peu d'empathie mais enfin j'essaie parfois de te le dire, mais cela n'est pas toujours entendu. Alors pourquoi répèter 3 ou 4 fois de suite quelque chose, si le sens est déformé ou mon propos est réformé. Je n'ai pas forcément envie de te vexer ou pire de t'aggresser. Mais j'ai l'impression de me vider pour rien.
Tourner en rond, fatigues. Je me tais. Cela ne s'arrête pas à un problème de communication, emmetteur-emmerdeur-recepteur, fluide techno-cérébral, les doigts en prise de terre directe à la masse. fffffffffffrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrt , je vois déjà tes cheveux hérissés, s'il t'en reste sur le crâne et l'odeur du cochon crâmé. On s'emmerde, tu m'emmerdes. Il ne se passera rien mais par respect on s'abstiendra. Je fais passer mon temps. Je m'abstrais dans le silence. Je te soustrais. Une bonne diarrée verbale, un vomis logorhé, une chiasse volubile soulagerait cette crampe tenaillante jusqu'à l'insomnie. A quoi bon les dépenses si tu n'entends rien. Restons en las!
Patience au nom de l'amitié. Politesse et relations humaines. Bullshit enragée. Tu me prends la tête. Cela me renvoie à ma petitesse d'esprit, à mon intolérance, à ma rigidité légendaire. Je m'en fou ou presque. J'ai envie de tout envoyer péter. Mais ... il reste un mais car tout est question de réciproque. La belle au bond me renverra toujours son uppercut du gauche. Ouuuch je mordrai des doigts. J'en aurai pour ma monnaie. Pourtant j'aimerai être un éléphant. Juste pour me ballader dans vos magasins de porcelaine. Même pas peur des souris. Même mignonnes à croquer. Que je dis! Faut voir. J'aurai une mémoire terriblement rancunière. Je monterai sur des ballons pour faire le pitre. Vendre mes défenses d'y voir. Provoquer quelques rires bons enfants. Puis je te flanquerai la trouille. Le regretter, en me prenant pour un gros con, et présentant des excuses. C'est comme ca. Je ne suis pas très sympa dans mon ciboulot à temps partiel.
Pourquoi rester ami? Allez de l'air frais, du vent ! Qu'est-ce qui nous relie? Qui fait qu'on ne peut pas tourner la page? Qu'on ne peut plus retourner la plage? Ou mieux l'arracher et changer de bouquin. Passer à autre chose, un roman collection rose, un manga à avaler en 5 à 7. Déménager et changer d'identité. Larguer toutes ces casseroles. Re-7. CTRL+ALT+DEL. Effacer les données. Oublier tout même les bons moments. La grenade a explosé. Commando-suicide je fais rompre mon pain de plastique et partage ma haine avec ces disciples inconnus. Reste à ramasser les morceaux. Leste à ressasser les morsures. Du balai, ouste !
OK je change de disque, je chantonne un autre air, j'abandonne ma demande abusive. Je prendrai ce qui me reviendra. J'oublie une bouteille par la mer. J'efface une tuile. Une tâche d'huile. Un retour de manivelle. Merci pour le geste. De rien pour l'attention. Par où soufflera le vent? Y aura-t'il seulement du vent?
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