Moonlight Spinnaker
Si fait néglige,
Si bas le ciel, dans l’enfer bleu
Masures à toi, Joy-Larg, voguant vers Pître.
Oiseau sans fin à grandes pales, déploient
Sur la renverse d’un point c’est tout
Un rien c’est tout, une envolée de 76, de 212
Voyelles et mots qui se débouchent.
Tant faire se peut , à la va-vite, la queue leuleu
Et passent au loin comme relevé, gisement
Latent, latté, Latex.
Nous touchons terre bien peu souvent
Quand dans les mots s’envolent
S’embrasent , et les poussées de
Vecteurs se hissent en flèche, au bas
Comme cohorte humante, la
Fange qui se bouscule sans rien
D’aimer, et de lâcher quelques mauvaise
Haleine et sales pensées.
Si tout persifle,
Si apparent en surplus de réel,
Accouchent les tares et les denrées, vaguantes
Extravaguantes, cette équipée, sauvage et souple,
Lorsque souffle reggae,
Vent mince, approprié, avec lequel
Il s’agit de flotter, dans l’immense ………….
Qui finira que doré.
Ne te gène pas Génois
Vas voir un Spi
Espèce de foc
Au clair de lune et sous la hune
Comme une félouké glissante vers son Delta
Plane et clapote, tout doux la rive, très loin la terre.
Et s’en emporte quand, grand devant
Ou bien en poupe, l’usine flottante
Et bien armée débouche bon plein
A l’embardée.
Nous étions,
Tatoués à la poudre, peaux d’air minées
En sels malins et de pétole, agressés par le ciel
De sa pastille, acccable encore, nos crânes chauffés
Par la déroute et les dérives,
et par des joutes et par des ires.
Il y avait de quoi, bon sang, de
Persifler le vent de bien vouloir se lever
De se montrer, de se hâter et d’avancer, chasser loin
Le doute et sa chaleur irretenable.
A le fixer et de travers, apparaissent apparaissantes,
Déesses vivantes, incertaines et turbulentes, filets comme
Lambeaux d’un Eol qu’on cherche en veine, et
Qu’en finisse la rade, la flamboyante, cuisante à frire
Dans les 50, celsius, de sous un ciel tonnant la poêle.
Et, nous, lardons, perdus, sur une mare d’huile
En Médi-Terre-Aquée.
Joy-Larg au ralenti, brise à peine le flot
Inexistant, avaricieux extrèmes du moindre
Clapotis, à verticale de flottaison,
Comme une solaire, et seule toison.
Premier_dernier, jour sans vent, au repos du rasta,
Fara reïn,
Fera rien si ce n’est s’en-venter
De quelques notes de reggae, et de quoi fouetter,
Faire onduler ce 9m30 de sagaie.
AB
Si fait néglige,
Si bas le ciel, dans l’enfer bleu
Masures à toi, Joy-Larg, voguant vers Pître.
Oiseau sans fin à grandes pales, déploient
Sur la renverse d’un point c’est tout
Un rien c’est tout, une envolée de 76, de 212
Voyelles et mots qui se débouchent.
Tant faire se peut , à la va-vite, la queue leuleu
Et passent au loin comme relevé, gisement
Latent, latté, Latex.
Nous touchons terre bien peu souvent
Quand dans les mots s’envolent
S’embrasent , et les poussées de
Vecteurs se hissent en flèche, au bas
Comme cohorte humante, la
Fange qui se bouscule sans rien
D’aimer, et de lâcher quelques mauvaise
Haleine et sales pensées.
Si tout persifle,
Si apparent en surplus de réel,
Accouchent les tares et les denrées, vaguantes
Extravaguantes, cette équipée, sauvage et souple,
Lorsque souffle reggae,
Vent mince, approprié, avec lequel
Il s’agit de flotter, dans l’immense ………….
Qui finira que doré.
Ne te gène pas Génois
Vas voir un Spi
Espèce de foc
Au clair de lune et sous la hune
Comme une félouké glissante vers son Delta
Plane et clapote, tout doux la rive, très loin la terre.
Et s’en emporte quand, grand devant
Ou bien en poupe, l’usine flottante
Et bien armée débouche bon plein
A l’embardée.
Nous étions,
Tatoués à la poudre, peaux d’air minées
En sels malins et de pétole, agressés par le ciel
De sa pastille, acccable encore, nos crânes chauffés
Par la déroute et les dérives,
et par des joutes et par des ires.
Il y avait de quoi, bon sang, de
Persifler le vent de bien vouloir se lever
De se montrer, de se hâter et d’avancer, chasser loin
Le doute et sa chaleur irretenable.
A le fixer et de travers, apparaissent apparaissantes,
Déesses vivantes, incertaines et turbulentes, filets comme
Lambeaux d’un Eol qu’on cherche en veine, et
Qu’en finisse la rade, la flamboyante, cuisante à frire
Dans les 50, celsius, de sous un ciel tonnant la poêle.
Et, nous, lardons, perdus, sur une mare d’huile
En Médi-Terre-Aquée.
Joy-Larg au ralenti, brise à peine le flot
Inexistant, avaricieux extrèmes du moindre
Clapotis, à verticale de flottaison,
Comme une solaire, et seule toison.
Premier_dernier, jour sans vent, au repos du rasta,
Fara reïn,
Fera rien si ce n’est s’en-venter
De quelques notes de reggae, et de quoi fouetter,
Faire onduler ce 9m30 de sagaie.
AB
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