Antoine Bréa - Editions Hache
"Tu suffoques d'être le plus repoussé des êtres,
mais tu n'as pas un sourire pour autrui et sans
arrêt soupires à propos de l'atrocité de ta position
ou de ces grands rêves excédés qui te vandalisent."
On termine ce soir la publication de MÉDUSES d'Antoine Brea, avec, en
épilogue, une lettre à Jimmy, double imaginaire du narrateur encore
plus mal en point que lui, déjà apparu sous forme d'ami d'enfance, de
frère, de la mort elle-même, mort lui-même et à présent interné.
La lettre relate un entretien du narrateur avec le psychiatre
responsable : les sentiments de celui-ci sur Jimmy et son analyse de
ses troubles vitaux. Magistral, parlant, d'une ironie délectable, le
chapitre apporte au roman une conclusion ambiguë.
mais tu n'as pas un sourire pour autrui et sans
arrêt soupires à propos de l'atrocité de ta position
ou de ces grands rêves excédés qui te vandalisent."
On termine ce soir la publication de MÉDUSES d'Antoine Brea, avec, en
épilogue, une lettre à Jimmy, double imaginaire du narrateur encore
plus mal en point que lui, déjà apparu sous forme d'ami d'enfance, de
frère, de la mort elle-même, mort lui-même et à présent interné.
La lettre relate un entretien du narrateur avec le psychiatre
responsable : les sentiments de celui-ci sur Jimmy et son analyse de
ses troubles vitaux. Magistral, parlant, d'une ironie délectable, le
chapitre apporte au roman une conclusion ambiguë.
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