A Tibedeff,
Il y eut les maudits mots qu'on sent
Bien virtuels pourtant,
Faits d’Oléastres comme
Tapis, volants, fumants,
s’évaporants.
On y bosse de ris en ris,
Avec belles blondon’s en saut de crabe,
Comme berniques, palourdes raclant la coque,
Coquilles,
De ces lézardes iconoclastes
Qui donnent conseil de comment battre_combattre
Un lapin qui tort, tue, … s’envient mourir
De tout son large, au bas de la pente
De toute sa lente, sur sa rambarde.
AB
Autour du Monde,
Une Perrine, son pot de lait,
Comme des marines, comme des mutines
Renifle son air saturé et
Agresse, sonore, une inquiétude festive
Qui fait volter les intervalles d’êtres,
De vague en encore plus vague.
Un sourire et se pose et s’attendrit du devenir de la vie
Sardonique, le trop solitaire chagrin
S’avère cause de folie, douce incolore,
Longe les murs et s’envenime de n’en rien montrer.
Tout se passe vers la mer,
Ce vent que la terre respire
Insuffle,
Des Naseaux, Célestes, Déchaînés,
Sur un nez rouge
Bagué, doré.
Imprimant à la terre tout le mélo,
Et l’ambarras de son pénible cahos.
Et à la mer, son jusant le plus fier,
La plus généreuse rehoule
Comme une armée de hanches femmées
Moulées assaillent.
Prenant le lieu, la place de l’horizon
A lui tout seul relégué en arrière fond,
De seconde zone alors qu’omni-savant
Pourtant quelques instants auparavant.
L’eau qui nous bat, et nous presq’ chavire
(…)
AB
Fogging in the air
Injonction!
Ecris ce qui ne peut se dire
Jette abjecte et crache
Les mots sur un papier grâcié
Par la grande pitié, lissés, la tendre, la généreuse
Casseuse de dent, pourtant !
Dénoués sur l’entre-faîte de malheureux
Destins, ne savent que faire
D’une corde, misère, ballante.
Que faire de se taire, quand de
Continuer à braire :
Miséricorde !
Belle lurette, il y a et ne sachant
Quoi laisser, quoi passer,
Articuler à dire sans outre et sans guidance.
Maintenant
Revient l’envie de maltraiter les langues,
Remuer l’impropre de quelques cerveaux exsangues
Prêts à se circonvulser, à rentrer
Sagement dans la peine de se trouver
Un adéquat de bon air .
Laisser moi encore en injoncter,
Naïf au pied ballant, colonne d’Hercule
Au savate d’argile,
Agile et grâcieux, tout dans la glace
Sûrement souvent pourtant.
Agir, il est le moins que le temps …
Je t’occis, mourons ! Mon immortel
Et plusieurs fois d’ailleurs plus qu’éternel,
Comme un Phénix ayant touché l’Onyx.
Partons !
Salut !
AB
Il y eut les maudits mots qu'on sent
Bien virtuels pourtant,
Faits d’Oléastres comme
Tapis, volants, fumants,
s’évaporants.
On y bosse de ris en ris,
Avec belles blondon’s en saut de crabe,
Comme berniques, palourdes raclant la coque,
Coquilles,
De ces lézardes iconoclastes
Qui donnent conseil de comment battre_combattre
Un lapin qui tort, tue, … s’envient mourir
De tout son large, au bas de la pente
De toute sa lente, sur sa rambarde.
AB
Autour du Monde,
Une Perrine, son pot de lait,
Comme des marines, comme des mutines
Renifle son air saturé et
Agresse, sonore, une inquiétude festive
Qui fait volter les intervalles d’êtres,
De vague en encore plus vague.
Un sourire et se pose et s’attendrit du devenir de la vie
Sardonique, le trop solitaire chagrin
S’avère cause de folie, douce incolore,
Longe les murs et s’envenime de n’en rien montrer.
Tout se passe vers la mer,
Ce vent que la terre respire
Insuffle,
Des Naseaux, Célestes, Déchaînés,
Sur un nez rouge
Bagué, doré.
Imprimant à la terre tout le mélo,
Et l’ambarras de son pénible cahos.
Et à la mer, son jusant le plus fier,
La plus généreuse rehoule
Comme une armée de hanches femmées
Moulées assaillent.
Prenant le lieu, la place de l’horizon
A lui tout seul relégué en arrière fond,
De seconde zone alors qu’omni-savant
Pourtant quelques instants auparavant.
L’eau qui nous bat, et nous presq’ chavire
(…)
AB
Fogging in the air
Injonction!
Ecris ce qui ne peut se dire
Jette abjecte et crache
Les mots sur un papier grâcié
Par la grande pitié, lissés, la tendre, la généreuse
Casseuse de dent, pourtant !
Dénoués sur l’entre-faîte de malheureux
Destins, ne savent que faire
D’une corde, misère, ballante.
Que faire de se taire, quand de
Continuer à braire :
Miséricorde !
Belle lurette, il y a et ne sachant
Quoi laisser, quoi passer,
Articuler à dire sans outre et sans guidance.
Maintenant
Revient l’envie de maltraiter les langues,
Remuer l’impropre de quelques cerveaux exsangues
Prêts à se circonvulser, à rentrer
Sagement dans la peine de se trouver
Un adéquat de bon air .
Laisser moi encore en injoncter,
Naïf au pied ballant, colonne d’Hercule
Au savate d’argile,
Agile et grâcieux, tout dans la glace
Sûrement souvent pourtant.
Agir, il est le moins que le temps …
Je t’occis, mourons ! Mon immortel
Et plusieurs fois d’ailleurs plus qu’éternel,
Comme un Phénix ayant touché l’Onyx.
Partons !
Salut !
AB
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