AZF : la suite des aventures

Le jeu de cache-cache
des maîtres-chanteurs
et de l'état français
continue

"Que cherche-t-il ?
A nous faire la nique ?
Veut-il réellement récupérer de l'argent
avec un procédé terroriste
et sous couvert
d'une idéologie pompée sur Internet ?
Ou simplement régler
ses comptes avec l'Etat,
se venger de quelque chose ?
Jusqu'où veut-il pousser la provoc ?"


En tout cas, ses «connaissances de la chose militaire, mines explosives, aéronautique, cartographie», et sa référence GPS au carrefour de Rethondes, où a été signé l'armistice le 11 novembre 1918, aiguillent les enquêteurs sur l'hypothèse d'une vengeance de la part d'un ancien militaire ou sous-officier, mercenaire ou combattant, en butte avec l'Etat. La police s'attend à un courrier «ferme, comminatoire d'AZF si c'est lui» qui a déposé la bombe à moitié visible à côté de Troyes. Où le Premier Ministre, Jean-Pierre Raffarin, se trouvait précisément hier en campagne électorale et où il invitait à chaud «tout le monde à la sérénité jusqu'à la fin des expertises»

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