Le beau, la brute et le mutant
Selon une équipe de biologistes de l'Institut de Recherches Senckenberg (Francfort), la sélection sexuelle a favorisé les faciès mâles attractifs plutôt qu'agressifs. Cela se traduit notamment par des pommettes plus saillantes et une mâchoire moins carrée et proéminente. En étudiant les différents primates, ces chercheurs ont trouvé que ce goût féminin se développe déjà chez les chimpanzés, et plus encore chez les Homo sapiens.
Selon une équipe de biologistes de l'Institut de Recherches Senckenberg (Francfort), la sélection sexuelle a favorisé les faciès mâles attractifs plutôt qu'agressifs. Cela se traduit notamment par des pommettes plus saillantes et une mâchoire moins carrée et proéminente. En étudiant les différents primates, ces chercheurs ont trouvé que ce goût féminin se développe déjà chez les chimpanzés, et plus encore chez les Homo sapiens.
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