L'adultère, pas bon pour le cœur
On peut y passer d'y croquer... Selon un spécialiste anglais, le sexe consommé en dehors d'une relation au long cours peut accroître le risque d'attaque cardiaque. Les palpitations, l'attrait de la nouveauté, le frisson de l'interdit, et à l'arrivée, selon Graham Jackson, cardioloque à l'hôpital St-Thomas de Londres, «75 % des cas d'arrêt cardiaque au cours de relations sexuelles sont le fait de personnes adultères». Et le risque s'accroît quand s'accroît la différence d'âge –et, par conséquent, la vigueur dans les ébats?
Heureusement, ceux engagés dans la douce quiétude d'une sage histoire présentent beaucoup moins de risque d'infarctus –même si, dans ce cas aussi, faire l'amour reste une activité très sportive pour le cœur.
Sportive, mais pas si dangereuse. Toujours selon ce cardiologue anglais, seulement 1% des attaques cardiaques sont déclenchées par une activité sexuelle. Ouf!
Lu sur Libé en ligne qque part dans l'histoire du jour.
On peut y passer d'y croquer... Selon un spécialiste anglais, le sexe consommé en dehors d'une relation au long cours peut accroître le risque d'attaque cardiaque. Les palpitations, l'attrait de la nouveauté, le frisson de l'interdit, et à l'arrivée, selon Graham Jackson, cardioloque à l'hôpital St-Thomas de Londres, «75 % des cas d'arrêt cardiaque au cours de relations sexuelles sont le fait de personnes adultères». Et le risque s'accroît quand s'accroît la différence d'âge –et, par conséquent, la vigueur dans les ébats?
Heureusement, ceux engagés dans la douce quiétude d'une sage histoire présentent beaucoup moins de risque d'infarctus –même si, dans ce cas aussi, faire l'amour reste une activité très sportive pour le cœur.
Sportive, mais pas si dangereuse. Toujours selon ce cardiologue anglais, seulement 1% des attaques cardiaques sont déclenchées par une activité sexuelle. Ouf!
Lu sur Libé en ligne qque part dans l'histoire du jour.
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