Trop beau pour être faux
L'amour est comme le millésime, il se compte en années, en saison, en grands cycles. Il épate nos impatiences ainsi que nos gosiers et la rondeur assurément vient de son grand âge. Il éclaire nos consciences et adoucit nos gueules en bois, grandes béantes et béates, jadis.
L'amour est comme le millésime, il se compte en années, en saison, en grands cycles. Il épate nos impatiences ainsi que nos gosiers et la rondeur assurément vient de son grand âge. Il éclaire nos consciences et adoucit nos gueules en bois, grandes béantes et béates, jadis.
Commentaires