LES PROBLEMES D'EGO DE L'ESPAGNE

Aznar, premier ministre espagnol, soutient comme Tony, d'une manière inconditionnelle Georges dans ses desseins de fin d'empire.

On est vraiment dans une cour de récré avec le gros musclé à la gonflette qui joue sa loi du plus fort. Et les deux têtes à claques, myopes politiques, qui eux aussi veulent leur part de succès auprès des filles, viennent acclamer haut et fort, les exploits de leur champion. Vazyy Vaazy casse-lui la gueule! Après ce qu'il t'a dit, moi j'aurais pas apprécié! Où alors comme au foot, celui qui en a marre d'être en deuxième provinciale et qui voudrait être reconnu -defacto- comme CAMPEO de la première DIVISEO.

Et puis bon, on parle chaque fois des pays (USA, Angleterre et Espagne) mais ce sont plutôt les enfoirés au pouvoir qui sont à blamer. Aznar s'en fout de sa prise de risque, car ce n'est pas lui qui paiera les pots cassés aux prochaines élections en Espagne. Alors il peut laisser libre cours à sa mégalomanie. Petit homme, petit homme, petit homme ...

Après ce raccourci bête et méchant, un oeil attentif sur quelques réflexions plus détaillées sur la position officielle de l'Espagne.

Le cinéma espagnol contre son gouvernement dans la guerre des nerfs contre la guerre en Iraq

Elias Querejeta (producteur de films) explique sa prise de position récente lors des Goyas (les oscars ou césars espagnols).

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