Le steack du tartare
En pensant à un copain qui monte un film vidéo sur ses périgrinations en mongolie [suivez mon regard ... top, clin d'oeil !!!], il m'est venu quelques idées saugrenues. Enfin pour être exact, il s'agit d'une collision avec quelques images d'un zapping nocturne attardé sur un porno brouillé de canal +. Je me demandait pourquoi ces films sont si chiants à regarder, m'étonnant de la longeurs de scènes banales. Levrettes, amazones, missionnaires, tortionaires; toutes ces positions filmées ne me semblent pas très excitantes sur la longueur. Ni pour le spectacteur que je suis, ni pour les hardeurs qui n'ont jamais un plaisir de jouer (jouir) très manifeste. Une idée m'est venue, me demandant pourquoi, alors qu'ils utilisent la répétition à l'infini sur fond d'orgue bontempi, exigeant des prestations érectiles disponibles à volonté, n'utilisent-ils pas de samplers vidéos. Une boucle de 10 secondes pourrait être répétée sur 3 minutes. Un monteur habile ferait bien passer le trucage. Economiquement la réalisation de ces films serait encore plus rentable. Un esthète pourrait mélanger plusieurs loops pour les synchroniser sur un beat hip hop. Avec un soft comme Archaos (mélangeant musique midi et vidéos), un morceau de musique piloterait directement un montage d'une scène pornocratique : je vois déjà quelques visuels pour concerts ou soirées branchées. La musique électronique qui révolutionnerait le porno. Je me demande déjà ce que donnerait un Aphex Twin ou un RZA dans l'exercice. Prodigy nous a encore presque montré la voie dans son dernier clip "milk the cow", tout un programme aussi cynique.
Pour le fun n'importe quel beauf bien monté ou un tant soit peu exhibitioniste pourrait alors devenir hardeur. J'en vois qui rêvent déjà s'attribuer les performances aux stéroïdes. Les actrices devraient simuler (stimuler) moins longtemps, ce qui serait sans doute plus agréable pour elles. Un bénéfice pour le mateur du genre. Bien que je ne sois pas convaincu par l'idéologie machiste véhiculée dans ces vidéos. Les femmes soumises assouvissant le désir masculin à la demande. Si c'était vrai, cela se saurait et serait vite blasant. Dans tous les cas, un peu trop réducteur voire limite débilitant. Des sentiments, bordel ! Un peu comme ceux qui enchaînent des disques en s'annoncant mixeurs, toi aussi tu pourrais devenir un hardeur. Bon ok, le prestige social serait moins important mais beaucoup de monde serait impressionné. Si je t'assure c'est lui, notre voisin, qu'on a vu hier soir, c'était brouillé mais c'est lui. On est d'accord, cela ne va pas très loin mais certains s'en contenteraient très bien, comme de rafler la mise à qui veut gagner des millions sur Tf1. Donc pour finir ma diatribe, pourquoi les producteurs de pornos ne s'inspirent-ils pas plus de la musique électronique? Quelques techniques de collages vidéos et sonores apporteraient un souffle nouveau à un genre éculé et fatigué. hé hé hé. Bon ceci dit les petits films sur la mongolie pourraient aussi abuser du procédé de sampling vidéo.
En pensant à un copain qui monte un film vidéo sur ses périgrinations en mongolie [suivez mon regard ... top, clin d'oeil !!!], il m'est venu quelques idées saugrenues. Enfin pour être exact, il s'agit d'une collision avec quelques images d'un zapping nocturne attardé sur un porno brouillé de canal +. Je me demandait pourquoi ces films sont si chiants à regarder, m'étonnant de la longeurs de scènes banales. Levrettes, amazones, missionnaires, tortionaires; toutes ces positions filmées ne me semblent pas très excitantes sur la longueur. Ni pour le spectacteur que je suis, ni pour les hardeurs qui n'ont jamais un plaisir de jouer (jouir) très manifeste. Une idée m'est venue, me demandant pourquoi, alors qu'ils utilisent la répétition à l'infini sur fond d'orgue bontempi, exigeant des prestations érectiles disponibles à volonté, n'utilisent-ils pas de samplers vidéos. Une boucle de 10 secondes pourrait être répétée sur 3 minutes. Un monteur habile ferait bien passer le trucage. Economiquement la réalisation de ces films serait encore plus rentable. Un esthète pourrait mélanger plusieurs loops pour les synchroniser sur un beat hip hop. Avec un soft comme Archaos (mélangeant musique midi et vidéos), un morceau de musique piloterait directement un montage d'une scène pornocratique : je vois déjà quelques visuels pour concerts ou soirées branchées. La musique électronique qui révolutionnerait le porno. Je me demande déjà ce que donnerait un Aphex Twin ou un RZA dans l'exercice. Prodigy nous a encore presque montré la voie dans son dernier clip "milk the cow", tout un programme aussi cynique.
Pour le fun n'importe quel beauf bien monté ou un tant soit peu exhibitioniste pourrait alors devenir hardeur. J'en vois qui rêvent déjà s'attribuer les performances aux stéroïdes. Les actrices devraient simuler (stimuler) moins longtemps, ce qui serait sans doute plus agréable pour elles. Un bénéfice pour le mateur du genre. Bien que je ne sois pas convaincu par l'idéologie machiste véhiculée dans ces vidéos. Les femmes soumises assouvissant le désir masculin à la demande. Si c'était vrai, cela se saurait et serait vite blasant. Dans tous les cas, un peu trop réducteur voire limite débilitant. Des sentiments, bordel ! Un peu comme ceux qui enchaînent des disques en s'annoncant mixeurs, toi aussi tu pourrais devenir un hardeur. Bon ok, le prestige social serait moins important mais beaucoup de monde serait impressionné. Si je t'assure c'est lui, notre voisin, qu'on a vu hier soir, c'était brouillé mais c'est lui. On est d'accord, cela ne va pas très loin mais certains s'en contenteraient très bien, comme de rafler la mise à qui veut gagner des millions sur Tf1. Donc pour finir ma diatribe, pourquoi les producteurs de pornos ne s'inspirent-ils pas plus de la musique électronique? Quelques techniques de collages vidéos et sonores apporteraient un souffle nouveau à un genre éculé et fatigué. hé hé hé. Bon ceci dit les petits films sur la mongolie pourraient aussi abuser du procédé de sampling vidéo.
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