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Que l’orage m’emporte et me foudroie
Vers d’autres florides que tu me dis d’aller
Vers d’autres épopées, et avec elles
Toutes les mêmes mélopées.
Dans les tendres fracas d’une météo qui mords et qui
Pourfend la vitre en gros glaçons d’éclairs éclaircis,
Tu lâches les amarres me poussant dans le vent
Et le mettant dans le dos, le dos si beau, le do,
Si belle.
A mes oreilles, je ne crus pas devoir me taire
Et expliquer encore qu’est ce qui fait me déplaire.
Tu largues au grand largue la corde distendue,
Celle des malheurs, des allanguis, comme une lippe
Boudeuse de bien de nos entre-dits.
Et tu la pointes en poupe, en « hé poupée ! »,
Chevaleresque crinière effarouchée,
En vent de contre aussi, en proue, en proie
A de moins mauvaises méshumeurs, je crois,
Si re-belle.
(...)
AB
Que l’orage m’emporte et me foudroie
Vers d’autres florides que tu me dis d’aller
Vers d’autres épopées, et avec elles
Toutes les mêmes mélopées.
Dans les tendres fracas d’une météo qui mords et qui
Pourfend la vitre en gros glaçons d’éclairs éclaircis,
Tu lâches les amarres me poussant dans le vent
Et le mettant dans le dos, le dos si beau, le do,
Si belle.
A mes oreilles, je ne crus pas devoir me taire
Et expliquer encore qu’est ce qui fait me déplaire.
Tu largues au grand largue la corde distendue,
Celle des malheurs, des allanguis, comme une lippe
Boudeuse de bien de nos entre-dits.
Et tu la pointes en poupe, en « hé poupée ! »,
Chevaleresque crinière effarouchée,
En vent de contre aussi, en proue, en proie
A de moins mauvaises méshumeurs, je crois,
Si re-belle.
(...)
AB
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