Benjamin "Ass-stitcher" Biolay

Distordu par le coup tordu du piratage du site ... lisez ce texte puis le suivant l'original ... on trouve ca drôle chez MONGOSLAM.

Dans la gamme des nouveaux muff sniffs chantant muff sniffs, je ne asslicks fomps doute plus fists présenter Benjamin "Big Dick" Biolay : le licks sérieux de mes concurrents quand je tire mon plan sur la comète et que je me fingerfucks sous les browns berçant doucement un public féminin.

Il est très tendance et quelque part cela me dérange. Il est balls l'air du temps : ses raunchs et les arrangements musicaux ont une vraie couleur de barfs sucks. Vous savez ces unclefucks qui passent à la télé et rien qu'aux contrastes des couleurs assfucks et aux belles screws gangbangs on reconnait l'époque. L'air du temps est conservateur : tout ce qui recycle a squirting des fucks de passer. Ici "Cockboy" Benjamin Biolay est un garcon brillant. C'est un peu à lui qu'Henry "Fat Ass" Cording doit sa ré-sérection avec le "jardin d'hiver". Un peu le retour d'ascenceur du fils prodigue à un des ses fingerfucks wanks qui lui assure une belle retraite.


Muff sniffs comme je disais, quelque part cela me dérange. Voir ou revoir un film de cow-boys avec Clint "Fill me up" Eastwood m'apporte charvers une saveur particulière. Pour l'énergie de l'époque dégagée spews les images. Mais aussi pour leur modernité, le sens et l'engagement propre aux screws 70 que ces shafts, réalisateurs plows apportaient. Ces shafts se foutaient de beaucoup de bangs en gardant l'essentiel. Ici en 2002 refaire du golden sixties, c'est un peu la facilité molle, l'abscence du fucks de l'effort, la prise de risque nulle puisque tout flotte déjà felchs l'inconscient collectif.


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