Le Chant de l'amazone
Alors il paraît qu'il y a comme un hoax de mail qui se ballade dans vos boîtes à propos des arbres et de leur Amazonie ! Il ressemble à une pétition et les foules ne savent plus de quoi il retourne vraiment. On en vient à douter du médium lui-même, jusqu'à, pourrait-on dire sauvagement, douter d'un réel danger planant au-dessus des cîmes des ces plurimillénaires d'arbres à tout faire. Est-ce que c'est une pétition, où va-t-elle que devient-elle qui est-elle ? Ca ressemble à tout le point aux vieilles questions de l'humain quand il se veut philosophe, humble quant à sa présence ici-bas, nain savant pris sous la pluie des nuages d'un Zeus qui prend son bain, fumant.
Alors pour pas refaire une pétition ou organiser des voyages d'intérêts écologiques, sponsorisés par les casques Petzl, afin d'aller faire des piquets devant les Bulles-Dozers, un peu comme on arrettait un char à Tien Anmen le siècle passé, pourquoi pas un "prosème" ambulant ? Vous le faites suivre après avoir ajouté un quelque chose à cet hybride mutagène, entre prose et poésie, dirons-nous pour nous faire comprendre hum-hum ... souris-claviers, menhirs, silex, sortez de vos poches. Chacun son style. Faut pas que ça rime, faut que ça chantonne, comme une onde par-dessous, fébrile, non-monotone.
S'il revient, je l'enverrai aux gouvernements du monde, avec le Brésil en tête puisqu'il est champion du monde. Et s'il a besoin d'être traduit, j'en connais qui se feront peut-être un plaisir de le traduire.
Evidemment, je m'adresse à votre inspiration et si d'aventures vous ne vous sentiez ni en choeur avec ce chant de l'Amazone, ni avec le procédé, vous jetez, basta, dans le fin-très-profond de vos poubelles-canettes trash. Pas besoin de me dire que je ne suis qu'une vaguelette dans l'océan des mails, j'ai mon site hoax , déjà merci.
Ose Amazone te rebiffer
Contre la bulle, contre la dose,
Tu es la bulle, notre over dose
D'atmosphère vide, encore peu fier
Qu'on hume sa plainte, sans en rien dire.
Et pas plus tard que tout de suite, je viens de recevoir un mail me parlant de l'inconnu en termes "prosémiques", à se demander quelles forces parlent de coïncidences.
"L’inconnu
L’inconnu nous submerge
Et il est partout.
Le connu n’est juste
Que la cerise en haut de l’iceberg
Dont nous tentons seulement
D’apercevoir la partie émergée.
Partout, tout autour de nous,
Inquiétant et rassurant,
Nécessaire et angoissant,
L’inconnu est là.
Sans lui, nous n’avancerions pas.
Sans lui, nous ne chercherions rien.
Puisqu’on ne comprend pas l’inconnu,
On en a peur.
Puisqu’on ne connaît pas l’inconnu,
On cherche à le connaître,
A le découvrir,
En sachant que plus on en retire
Plus il s’en forme,
Incessant mouvement renaissant de ses cendres.
Un phénix.
Poursuivant un rêve
Inutile et indispensable,
L’humanité va,
Tentant de répondre à la question pourquoi,
Tentant de répondre à la question comment.
L’inconnu, l’inconnu,
Mot si effrayant.
Marcher vers lui
C’est marcher vers la vie."
Mmong
Alors il paraît qu'il y a comme un hoax de mail qui se ballade dans vos boîtes à propos des arbres et de leur Amazonie ! Il ressemble à une pétition et les foules ne savent plus de quoi il retourne vraiment. On en vient à douter du médium lui-même, jusqu'à, pourrait-on dire sauvagement, douter d'un réel danger planant au-dessus des cîmes des ces plurimillénaires d'arbres à tout faire. Est-ce que c'est une pétition, où va-t-elle que devient-elle qui est-elle ? Ca ressemble à tout le point aux vieilles questions de l'humain quand il se veut philosophe, humble quant à sa présence ici-bas, nain savant pris sous la pluie des nuages d'un Zeus qui prend son bain, fumant.
Alors pour pas refaire une pétition ou organiser des voyages d'intérêts écologiques, sponsorisés par les casques Petzl, afin d'aller faire des piquets devant les Bulles-Dozers, un peu comme on arrettait un char à Tien Anmen le siècle passé, pourquoi pas un "prosème" ambulant ? Vous le faites suivre après avoir ajouté un quelque chose à cet hybride mutagène, entre prose et poésie, dirons-nous pour nous faire comprendre hum-hum ... souris-claviers, menhirs, silex, sortez de vos poches. Chacun son style. Faut pas que ça rime, faut que ça chantonne, comme une onde par-dessous, fébrile, non-monotone.
S'il revient, je l'enverrai aux gouvernements du monde, avec le Brésil en tête puisqu'il est champion du monde. Et s'il a besoin d'être traduit, j'en connais qui se feront peut-être un plaisir de le traduire.
Evidemment, je m'adresse à votre inspiration et si d'aventures vous ne vous sentiez ni en choeur avec ce chant de l'Amazone, ni avec le procédé, vous jetez, basta, dans le fin-très-profond de vos poubelles-canettes trash. Pas besoin de me dire que je ne suis qu'une vaguelette dans l'océan des mails, j'ai mon site hoax , déjà merci.
Ose Amazone te rebiffer
Contre la bulle, contre la dose,
Tu es la bulle, notre over dose
D'atmosphère vide, encore peu fier
Qu'on hume sa plainte, sans en rien dire.
Et pas plus tard que tout de suite, je viens de recevoir un mail me parlant de l'inconnu en termes "prosémiques", à se demander quelles forces parlent de coïncidences.
"L’inconnu
L’inconnu nous submerge
Et il est partout.
Le connu n’est juste
Que la cerise en haut de l’iceberg
Dont nous tentons seulement
D’apercevoir la partie émergée.
Partout, tout autour de nous,
Inquiétant et rassurant,
Nécessaire et angoissant,
L’inconnu est là.
Sans lui, nous n’avancerions pas.
Sans lui, nous ne chercherions rien.
Puisqu’on ne comprend pas l’inconnu,
On en a peur.
Puisqu’on ne connaît pas l’inconnu,
On cherche à le connaître,
A le découvrir,
En sachant que plus on en retire
Plus il s’en forme,
Incessant mouvement renaissant de ses cendres.
Un phénix.
Poursuivant un rêve
Inutile et indispensable,
L’humanité va,
Tentant de répondre à la question pourquoi,
Tentant de répondre à la question comment.
L’inconnu, l’inconnu,
Mot si effrayant.
Marcher vers lui
C’est marcher vers la vie."
Mmong
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